Gary Kurtz

DOSSIER DE PRESSE

Gary Kurtz, le magicien de l’esprit

Dans le domaine du divertissement psychique, Gary Kurtz est un as. Partout dans le monde, il ne cesse de confondre les publics les plus sceptiques. Sa spécialité, c’est de lire dans la tête des gens. M. Kurtz affirme qu’il n’est ni voyant, ni un hypnotiseur et quand il décrit ses compétences, il préfère parler de mentalisme plutôt que de paranormal, un mot un peu trop galvaudé à son goût. « On pourrait dire que le mentalisme, c’est la magie de l’esprit. Je joue dans la tête des gens et je m’amuse à lire dans leurs pensées », explique-t-il.

Interactivité

Gary Kurtz présente un spectacle qui se situe au carrefour de la performance, du théâtre, de l’humour et du mentalisme, avec une mise en scène de François Flamand, une musique originale, le tout enrobé d’un texte amusant et rythmé. « Le spectacle est très structuré, mais en même temps, il y a une grande place pour l’improvisation. C’est un peu comme le jazz. Vraiment, j’adore ce spectacle », affirme l’artiste d’origine allemande qui vit à Montréal depuis une quinzaine d’années.

Tout au long de ce spectacle qui défie toute comparaison, les spectateurs vont de surprises en étonnement. Gary Kurtz lit dans les pensées de certains spectateurs choisis au hasard. Il devine les numéros de série des billets que les gens sortent de leurs poches, il change l’heure des montres, il vous dira le numéro de téléphone d’un de vos amis, il touche les gens à distance, fait surgir des souvenirs qu’on croyait enfouis, etc. « Rien que nous pouvons trouver sur Internet », dit-il en riant.

Certaines personnes qui prévoient aller voir le spectacle seront mieux placées qu’elles le pensent, car elles pourraient se retrouver sur la scène. En effet, à l’arrivée des spectateurs, les placiers vont sélectionner 14 personnes que Gary Kurtz ne connaît ni d’Ève ni d’Adam et les inviteront à s’installer sur la scène. Ces derniers n’ont vraiment pas à s’inquiéter. Ce personnage inclassable qui conquiert son public soir après soir inspire la confiance et les gens qui sont sur la scène sont toujours très à l’aise, un peu comme s’ils étaient dans leur salon. Il faut dire que M. Kurtz ne ridiculise jamais personne. Il respecte trop les gens pour aller jusque-là. « J’aime ce contact direct et personnel avec les gens. C’est comme si je me faisais de nouveaux amis tous les soirs ». Pendant le spectacle, M. Kurtz s’adressera aussi à une cinquantaine de personnes dans la salle.

Gary Kurtz ne veut visiblement pas utiliser ses dons hors de la scène. Il hésite même à répondre aux questions au sujet de ses capacités en dehors du spectacle ou au sujet du type de relation qu’il peut entretenir avec sa famille ou ses amis quand ces derniers connaissent très bien ses compétences. « En dehors de la scène, il y a une zone grise autant dans le domaine légal qu’en matière d’éthique. Je n’ai pas besoin de me servir de mes dons à l’extérieur de la scène et ça ne m’intéresse pas », affirme-t-il.